The education system in colonial Algeria (1833-1962)
Statistical and historiographical review
by Kamel Kateb
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Sommaire Introduction : Est-il possible d’établir un bilan objectif par les statistiques disponibles ? I. Quelques considérations générales II. Quelques considérations démographiques Chapitre 1 : L’enseignement précolonial : mythe ou réalitéI. Sources indirectes et opinions contradictoires a. Des témoignages d’une grande partialité b. L’avis d’Ibn Khaldoun sur l’enseignement du premier degré dans le monde Musulman et dans les pays du Maghreb II. Contenu et organisation du système d’enseignement dans l’Algérie précolonial a. Le premier degré orienté vers l’apprentissage du Coran b. Aux madrasas et aux Zaouïa l’enseignement du second degré c. Disparition de l’enseignement universitaire religieux en Algérie III. Les obstacles à la modernisation du système d’enseignement traditionnela. Absence d’une institution centralisée pour la gestion de l’instruction publique b. Comparativement à la France, le système d’enseignement précolonial avait pris un retard difficile à rattraper Chapitre 2 : Les premières écoles françaises I. Une école pour répondre aux besoins scolaires de la population européennea. Progression rapide de la scolarisation dans le primaire b. L’enseignement secondaire est rapidement mis sur pied II. Attirer les enfants indigènes : le développement d’un enseignement bilingue a. Des écoles indigènes françaises en Algérie pour scolariser les enfants indigènes b. Elimination progressive des midrashims III. Conclusion Chapitre 3 : L’enseignement : un instrument de conquête colonial ! I. Contrebalancer l’influence des confréries religieuses a. Faire reculer le fanatisme et les préjugés religieux b. Le progrès et la civilisation contre la paix et la terre : un marché jamais conclu II. L’école, l’assimilation des indigènes et les Européens d’Algérie a. Le développement de l’instruction des musulmans bloqués par les intérêts des Européens d’Algérie b. Fortes oppositions à la scolarisation indigène dans les écoles françaises c. Aptitudes indigènes et adaptation de l’enseignement d. Un recul sans concession devant les intérêts de la minorité européenne Chapitre 4 : Des écoles différentes pour des populations différentes I. écoles européennes et écoles spéciales aux indigènes a. La reproduction du modèle métropolitain b. L’enseignement spécial aux indigènes : la séparation scolaire c. Les médersas, un enseignement professionnel dénommé enseignement supérieur musulman d. Une concurrence qui n’a pas toujours tourné en faveur de l’école française II. Le système scolaire parallèle a. Un enseignement sous surveillance administrative et policière b. Degré de fréquentation de l’enseignement traditionnel libre c. L’impossible rénovation l’enseignement traditionnel musulman : l’échec des « médersas réformé » ? III. Organisation générale du système éducatif Chapitre 5 : L’école des inégalités sociales, sexuelles et ethniques I. Inégalités flagrantes et multiples a. Inégalités dans l’action des pouvoirs publics et des collectivités locales b. La fin de la séparation scolaire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale c. Forte inégalités dans les affectations budgétaires II. Des fortes inégalités de genre, faiblesse de la scolarisation des filles a. Population européenne : Inégalité des sexes dans l’enseignement au-delà du primaire b. Scolarisation des filles indigènes : très lente progression dans la première moitié du 20e siècle III. Une répartition spatiale des équipements scolaires défavorable aux indigènes algériens a. Inégalité d’accès aux paliers post primaires b. Fortes disparités
Endorsements
The aim of this study is to analyse the conditions and processes that led to the school segregation that existed in colonial Algeria. This is a relatively paradoxical situation in departments belonging to a democratic, egalitarian country with a universalist vocation, particularly in terms of education. The virtual exclusion of the Arabic language from the education system set up by the colonial authorities and the religious nature of teaching in the early decades of the occupation gave rise to two parallel education systems. One system was set up in response to colonial policy and the needs of the European populations living in Algeria. The attempt at reform made in 1930 by the Association of Algerian Ulemas did not fundamentally alter its role in the field of education, but put the traditional indigenous school back on the map as a means of challenging the colonial order. The colonial education system went through several stages of development which influenced its form and content. The first stage was characterised by the existence of bilingualism in schools and colleges for the indigenous population. It was also characterised by the acceptance of Koranic religious teaching. The stated aim was to regenerate traditional Arabic education and introduce more modern teaching through the French language, in order to limit the political influence of the religious brotherhoods. The second stage followed the collapse of the imperial regime; the advent of the Third Republic meant that military rule in Algeria was limited to the south of the country; this satisfied the colonists, who considered the military to be in favour of the natives; in their eyes, they were an obstacle to the progress of colonisation. Teaching in Arabic was abolished. Within the French system, this led to the emergence of the indigenous school, giving rise to a form of school separation on an ethnic basis. The third stage began in the aftermath of the Second World War, when a desire was expressed to provide mass schooling for indigenous people who had become French Muslims and to eliminate ethnic differences, at least at school level. Various plans for the schooling of ‘Muslim’ children were adopted and implemented until Algeria became independent. The problem we are dealing with revolves around the following question: What assessment can be made of education during the colonial period? What was the role of traditional indigenous education and what was its relationship with the colonial administration? What place did indigenous Algerians occupy in the French education system? What explanation can be given for this separation?
Author Biography
Kamel Kateb is a research demographer at the Institut National d'Etudes Démographiques (INED) in France. He holds a doctorate in demography from EHESS in Paris. His research and publications focus mainly on the history of the populations of the Maghreb countries, the education systems of these countries and migration between the Maghreb and Europe.
Apic éditions
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- Publisher/Imprint Apic éditions / Algeria
- Publication Date October 2014
- Orginal LanguageFrench
- ISBN/Identifier 9789931468097
- Publication Country or regionAlgeria
- FormatHardback
- Primary Price 17 EUR
- Pages210
- ReadershipGeneral
- Publish StatusPublished
- Original Language TitleLe système éducatif dans l’Algérie coloniale (1833-1962) Bilan statistique historiographique
- Original Language Authorsfre
- EditionApic éditions
- Copyright Year2014
- Dimensions150X230 mm
- Biblio NotesGlossaire – Halkat : regroupement de personnes pour débattre d’une question autour d’un problème controversé. – Kouttab, Mcids : école coranique du premier degré. – Madrassa : école coranique du second degré. – Maallam : une autre appellation pour les enseignants, qui correspond plus aux artisans qui ont des apprentis qu’aux instituteurs. – Marabout : nom donné aux familles dont l’un des ancêtres avait marqué une région par sa science et sa piété. Un mausolée est édifié en son honneur qui fait l’objet de pèlerinage. – Mouaddebs : enseignant du premier degré des écoles coraniques, dans le sens d’éducateurs. – Mouderrès : enseignant d’Arabe dans les écoles françaises en dehors des heures régulières d’enseignement. – Mahakmas : tribunaux traitant des affaires civiles dans les pays musulmans. – Ouatan : pays, contrée, division administrative. – Ouléma : savant dans les sciences religieuses. – Taleb : étudiant des universités religieuses. – Tolba : pluriel de Taleb, parfois désignant les récitants du coran, équivalent des talibans de l’Extrême-Orient. – Zaouïas : écoles coranique du second degré attenante au mausolée d’un saint un wali. – Fiqh : jurisprudence islamique. Les recteurs de l’académie d’Alger de 1848 à 1962 Liste des graphiques – Figure n°1 : Population âgée de 6-14 ans en proportion de la population totale. – Figure n°2 : Proportion des dépenses affectées à l’instruction publique (1901-1937). – Figure n°3 : Evolution des dépenses budgétaires par enfant scolarisé (primaire et secondaire) (1901-1937). – Figure n°4 : Nombre de filles françaises pour 100 garçons dans l’enseignement secondaire. – Figure n°5 : Nombre de filles dans le secondaire pour 100 garçons selon la nationalité. – Figure n°6 : Effectifs des élèves de sexe féminin dans l’enseignement primaires. – Figure n°7 : Effectifs des élèves dans l’enseignement primaire. – Figure n°8 : Effectifs des élèves dans l’enseignement secondaire. – Figure n°9 : Etudiants indigènes de l’université d’Alger (effectif et pourcentage). – Figure n°10 : Effectif et pourcentage des diplômés des écoles normales d’instituteurs. Liste des tableaux – Tableau n°1 : Population aux recensements (effectifs et pourcentages). – Tableau n°2 : Proportion de la population âgée de 6-14 ans. – Tableau n°3 : Structure du système d’enseignement en Algérie précoloniale. – Tableau n°4 : Répartition ethnico-religieuse des élèves dans les écoles françaises en Algérie. – Tableau n°5 : Répartition des élèves selon le secteur juridique. – Tableau n°6 : Elèves du secondaire selon le secteur juridique de l’établissement. – Tableau n°7 : Répartition des élèves des établissements secondaires. – Tableau n°8 : « Ecoles françaises Musulmanes » ou « Ecoles arabes françaises ». – Tableau n°9 : Collège Impériale arabe français. – Tableau n°10 : Présence enfants indigènes dans les écoles destinées aux Européens. – Tableau n°11 : Résultats aux concours de recrutement des fonctionnaires musulmans. – Tableau n°12 : de l’instruction publique indigène en Algérie en 1856 et 1857. – Tableau n°13 : Répartition des écoles Coraniques selon les départements. – Tableau n°14 : Répartition des élèves indigènes dans l’enseignement traditionnel réformé, selon le sexe et le département. – Tableau n°15 : Organigramme du système d’enseignement dans l’Algérie coloniale. – Tableau n°16 : Proportion de la population scolarisée dans la population totale. – Tableau n°17 : Proportion de la population des 6-14 ans selon le sexe et la catégorie ethnique. – Tableau n°18 : Evolution de la scolarisation dans le primaire en France et en Algérie (6-14 ans). – Tableau n°19 : Dépenses budgétaires en Algérie au cours du 19e siècle. – Tableau n°20 : L’éducation nationale dans les budgets de fonctionnement et d’équipement. – Tableau n°21 : Evolution de la scolarisation dans le primaire selon le sexe et la catégorie ethnique (6-14 ans). – Tableau n°22 : Diplômes conférés dans les différentes écoles et facultés au 31/12/1914. – Tableau n°23 : Diplômes délivrés par l’Université d’Alger depuis 1910. – Tableau n°24 : Statistique de l’emploi des diplômés du supérieur. – Tableaux n°25 : Taux de scolarisation en Algérie selon les recensements (%). – Tableau n°26 : Berbérophone dans la population algérienne selon le découpage administratif de 1954. – Tableau n°27 : Répartition des élèves dans les cours d’Arabe. Principales sources législatives et réglementaires concernant l’enseignement des indigènes algériens – Décret du 27 novembre 1944, instituant l’obligation scolaire en Algérie, promulgué par le Gouvernement provisoire de la république française, signé conjointement par Jules Jeaneney, (Gouverneur provisoire), René Capitant (Ministre de l’éducation nationale), A. Tixier (Ministre de l’intérieur) et Catroux (Ministre délégué en AFN). * Article 1er : L’article 4 de la loi du 28 mars 1882, relative à l’obligation de l’enseignement primaire est applicable en Algérie à tous les enfants sans distinction. * Article 2 : Toutes dispositions contraires au présent décret sont abrogées. * Article 3 : Des arrêtés du Gouverneur Général fixeront les modalités d’application du présent décret. * Article 4 : Le Ministre de l’éducation nationale et le Ministre de l’intérieur, sont chargés de l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal Officiel de la République Française. – Décret N°49-302 du 5 mars 1949 relatif à la fusion de l’enseignement des musulmans dit « enseignement B » avec l’enseignement des Européens dit « enseignement A », signé par le Président du Conseil des Ministres, Henry Queuille, le Ministre de l’Education Nationale, Yves Delbos et le Ministre de l’Intérieur, Jules Moch. * Article 1er : L’enseignement spécial aux Français musulmans d’Algérie dit enseignement « enseignement B » est supprimé. Les distinctions de toute nature ayant trait à une différenciation ethnique de scolarisation des élèves et de recrutement ou d’affectation des maîtres dans les écoles publiques d’Algérie sont abolies. * Article 2 : Sont et demeurent abrogées toutes dispositions réglementaires contraires au présent décret et notamment celle des décrets du 18 octobre 1892, 2 octobre 1920, 22 septembre 1922, 9 février 1927, relatifs au personnel de l’enseignement primaire des indigènes en Algérie. * Article 3 : Des arrêtés pris par le Ministre de l’Education Nationale et contresignés par le Ministre de l’intérieur fixeront les diverses étapes à la fusion définitive des enseignements A et B suivant un plan sauvegardant les situations acquises et ménageant la progression nécessaire dans l’unification des programmes, des écoles et du personnel. Une première étape sera réalisée à compter du 1er janvier 1949. * Article 4 : Le Ministre de l’éducation nationale et le Ministre de l’intérieur, sont chargés de l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal Officiel de la République Française et au Journal Officiel de l’Algérie. Annexe statistique : scolarisation dans l’enseignement traditionnel – Répartition des élèves indigènes dans les écoles traditionnelles des territoires contrôlés. Sources : données relevées sur les Tableau des établissements français dans l’Algérie (1838-1846). – Nombre d’élèves et d’écoles dans l’enseignement traditionnel indigène algérien. Sources : A.N. F80 457 et F80 458 cité par Turin Yvonne. – Proportion des 6-14 ans dans la population totale selon les recensements. Sources : tableau reconstitué sur la base des chiffres fournis par la Statistique générale de l’Algérie. – Statistiques générales des confréries religieuses (L. Rinn, 1884). Z= zaouïas, M= mausolée de marabout, K= khouan membre des confréries. – Situation des écoles indigènes lors du recensement de 1861. Sources : T.E.F en Algérie 1859-1861. – Liste des Médersas de l’association des Ouléma (d’après « El Bassair », n°135, du 18 décembre 1950. En 1949 le journal la République Algérienne avait donné le nombre de 144 médersas, 307 maîtres, et 40000 élèves. – Le plan de scolarisation de 1944 et son exécution. Sources : Malan, 1957. – Répartition régionale de la scolarisation des élèves musulmans, année scolaire 1959-1960. Sources : Documents Nord-Africain, n°410, 31/10/1960, Paris, études sociales Nord-Africaines, 7 p. – Budget de l’instruction publique. Sources : Statistiques Générale de l’Algérie, GGA. – Répartition des élèves inscrits au niveau de l’enseignement Primaire (reconstitué à partir des annuaires statistiques). – Primaire suite. – Répartition des élèves inscrits au niveau de l’enseignement Secondaire (reconstitué à partir des annuaires statistiques. – Secondaire suite. – Secondaire suite. – Répartition des élèves inscrits au niveau de l’enseignement Supérieur. Sources : reconstitué à partir des annuaires statistiques. – Elèves des écoles normales d’instituteurs (reconstitué à partir des annuaires statistiques. – Enseignement primaire : indigènes dans les écoles non spéciales aux indigènes (reconstitué à partir des annuaires statistiques). – Evolution des effectifs des élèves indigènes algériens et des infrastructures scolaires de l’enseignement primaire. Sources : Tableau des établissements français, Statistique générale, Annuaire statistique de l’Algérie. Textes officiels – Décret du 14 juillet 6 août 1850. – Arrêtés portant règlement d’école primaire de garçons de Constantine, 25 juillet 1851, art.7, et de fille 27 juillet 1851 art.4. – Décret du 3 septembre 1850 création de 3 Médersas, Médéa, Tlemcen et Constantine. – Décret impérial du 4 mars 22 avril 1865, institue une école normale d’instituteur pour les européens et les indigènes. – Décret du 14 mars 1857 crée le collège arabe-français, celui du 16 juin 1865 crée les Collèges d’Oran et de Constantine. – Arrêté du 28 octobre 1871 de l’Amiral de Gueydon supprima les collèges arabes-français. – Décret du 4 août 1857, création de l’école de médecine d’Alger. – Décret du 13 février 1883 organise l’enseignement primaire des indigènes. – Les Décret du 9/12/87 et 18/10/92 sur la composition et la situation du personnel scolaire. – Les Décret 21/11/82, 23/07/1883 et 23/07/1895 organisent les médersas. – Loi du 27 février 1880, relative aux conseils supérieurs de l’instruction publique et aux conseils académiques. – Loi du 16 juin 1881, sur les titres de capacité de l’enseignement primaire public et privé. – Loi du 16 juin 1881, sur la gratuité de l’enseignement primaire. – Loi du 28 mars 1882, sur l’obligation de l’enseignement primaire. – Loi organique du 30 octobre 1886, sur l’organisation de l’enseignement primaire. – Loi du 6 octobre 1910, sur l’organisation des cours complémentaires professionnels. – Loi du 31/12/1920, les dépenses de construction scolaire intégralement à charge du budget de l’Algérie. – 08 novembre 1887, application des 4 derniers textes à l’Algérie. – Décret organique du 18 janvier 1887, a porté réglementation de l’enseignement public et des écoles normales. – Le décret du 9 décembre 1887 a porté sur la réglementation de l’enseignement des indigènes. – Arrêté ministériel du 20 octobre 1891 a créé la section spéciale à Alger Bouzaréah. – Décret du 18 mars 1892, sur l’enseignement primaire public et privé des indigènes. – Décret du 22/09/1922, relatif au statut du personnel des écoles primaires publiques de l’enseignement des indigènes. – Décret du 8/03/1938 portant sur l’extension de la législation métropolitaine aux écoles privées musulmanes. Documents officiels – Instruction public, notes d’un rapport du Général Bedeau, daté de Constantine février 1847, dossier XLV_AL, A.H.A.T. (archives historiques de l’armée de terre), Carton 1H235. – Instruction public en Algérie, rapport Lepescheux, chef de l’instruction publique à Alger, sans date (probablement entre 1846 et 1850), dossier XLIV_AL, A.H.A.T. (archives historiques de l’armée de terre), Carton 1H235. – Rapport fait au nom de la commission chargée d’examiner les modifications à introduire dans la législation et dans l’organisation des divers services de l’Algérie (instruction primaire des indigènes). 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